La science économique au service de la société

« Homo numericus : La « civilisation » qui vient », Daniel Cohen

Dans son dernier ouvrage, Daniel Cohen revient sur les enjeux de la révolution numérique et explique en quoi elle a profondément bouleversé nos sociétés.

« Homo numericus : La « civilisation » qui vient »

Retrouvez la page dédiée à l’ouvrage sur le site des Éditions Albin Michel.

Extrait issu de la 4e de couverture :

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Résumé

L’auteur reconnu de La prospérité du vice et d’autres best-sellers décrypte avec une joyeuse férocité cette prétendue « civilisation » qui va bouleverser nos vies. L’amour ? Désormais c’est Tinder ! Le bureau ? En télétravail ! Un nouveau job ? Ce sont les algorithmes qui recrutent ! Les partis politiques ? C’est sur Twitter ! Au centre de ce nouveau monde ? Homo Numericus, un être submergé de contradictions. Il veut tout contrôler, mais il est lui-même irrationnel et impulsif, poussé à des comportements addictifs par ces mêmes algorithmes qui surveillent les moindres détails de son existence.

Faut-il désespérer ? Pas nécessairement. La révolution numérique répond aux attentes d’une société qui voudrait que toute parole soit écoutée, sans vérité révélée. Trouver la voie qui permette d’accomplir cette utopie : telle est aussi l’ambition de ce livre.

L’auteur

Daniel Cohen est Président du Conseil d’Administration et Professeur titulaire d’une chaire à Paris School of Economics. Il est aussi Professeur à l’École normale supérieure - PSL et Directeur du CEPREMAP (Centre pour la recherche économique et ses applications). Daniel Cohen a publié plusieurs ouvrages : « Contre la solitude sociale » (Editions de l’Aube, 2020), « “Il faut dire que les temps ont changé...” - Chronique (fiévreuse) d’une mutation qui inquiète » (Albin Michel, 2018), « Le Monde est clos et le désir infini » (Albin Michel, 2015), « 5 crises - 11 nouvelles questions d’économie contemporaine » (Albin Michel, 2013), « Homo economicus, prophète (égaré) des temps nouveaux » (Albin Michel, 2012) and « La prospérité du vice » (Albin Michel, 2009).


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