Capital inflows and exchange rate in LDCs: The Dutch disease problem revisited
Pré-publication, Document de travail: Dans cet article, les liens entre flux de capitaux et taux de change réel (TCR) dans les PVD sont réexaminés théoriquement et empiriquement. Théoriquement en développant un modèle simple qui montre que le taux change réel dépend principalement des fondamentaux "réels" tels que les termes de l'échange et les différentiels de productivité, et empiriquement en prenant en compte l'hétérogénéité de l'échantillon, la dynamique du TCR, et la non-stationnarité des données. Les flux de capitaux peuvent être l'aide étrangère, les revenus du pétrole, les IDE, etc. Empiriquement, il est aussi montré que ces fondamentaux réels sont les principaux déterminants des variations du TCR comparés aux flux de capitaux. L'effet Balassa-Samuelson explique à lui seul 57% des variationsdu TCR tandis que les flux de capitaux n'expliquent que 19% de ces variations. La théorie du Dutch disease n'est pas rejetée mais son impact sur les mouvements du TCR apparaît très faible.
Mots-clés JEL
Mots-clés
- Dutch disease
- Capital inflows
- Real exchange rate
- Dynamic and heterogeneous panel
Référence interne
- PSE Working Papers n°2009-26
URL de la notice HAL
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- 1